Mettre en place un jardin vivrier - UCARE

Durée

35 heures

Prix €

1040 €

Rythme

En journée

Format

En présentiel

Language

Français

Avis

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Il y a 33 organismes qui offrent le mĂŞme diplĂ´me.




Information sur l'organisme

Organisme

CFA/CFPPA Quetigny Dijon

Ville

QUETIGNY - 21800

Nombre de formations

21 (9 uniques)

Prix moyen

1162.71 €

Temps moyen

74.24 heures

Avis moyen de toutes les formations

54 Avis



Détail de la formation

DiplĂ´me

BP Aménagements paysagers

Objectif

Concevoir un jardin vivrier en fonction des besoins des usagers, des contraintes pédoclimatiques et des principes agroécologiques. Sélectionner et implanter les cultures adaptées aux conditions locales, en respectant la diversité des plantes (potagères, aromatiques, petits fruits) et la rotation des cultures. Maîtriser les techniques culturales (semis, plantation, entretien, paillage, gestion de l'eau) permettant d'optimiser la production tout en préservant la biodiversité et les ressources naturelles. Gérer le calendrier cultural et organiser les tâches en fonction des cycles de culture et des besoins de la production. Appliquer des pratiques respectueuses de l’environnement en matière de gestion des nuisibles, de fertilisation organique et de préservation des sols. Assurer la récolte et la valorisation des produits du jardin vivrier (conservation, stockage, distribution) tout en respectant les normes d’hygiène et de sécurité alimentaire. Développer des compétences pédagogiques pour animer des ateliers ou des projets autour du jardin vivrier en fonction des publics concernés (écoles, collectivités, associations). Ces objectifs visent à former des professionnels capables de concevoir, implanter et gérer un jardin vivrier en tenant compte des aspects écologiques, techniques, économiques et sociaux.

Contenu de la formation

La formation « Mettre en place un jardin vivrier » propose un apprentissage progressif, articulé autour de mises en situation pratiques et d’apports techniques, visant la création, l’entretien et la valorisation d’un jardin vivrier dans une logique agroécologique. Les contenus abordés incluent : Identification des objectifs du jardin vivrier : finalités sociales, éducatives, alimentaires ou économiques, publics visés et intégration dans un contexte local (établissement, quartier, collectivité, structure associative…). Conception du jardin : choix de l’emplacement, planification de l’espace (zones de cultures, allées, points d’eau), élaboration d’un plan de culture en tenant compte des rotations, associations de plantes et saisonnalité. Choix des espèces végétales : sélection de variétés adaptées aux conditions pédoclimatiques locales et aux objectifs (plantes potagères, aromatiques, médicinales, petits fruits, fleurs utiles…). Mise en œuvre des techniques culturales : préparation du sol, semis, plantations, paillage, fertilisation organique, gestion de l’eau, lutte intégrée contre les bioagresseurs, entretien régulier. Organisation du travail et gestion du calendrier cultural : planification des interventions, suivi des cultures, anticipation des récoltes et des renouvellements. Récolte, valorisation et traçabilité des productions : hygiène, stockage, conservation, distribution (circuits courts, dons, animation pédagogique…). Respect des règles de sécurité et de protection de l’environnement, intégration des principes de l’agroécologie et du développement durable. La formation est conduite selon une pédagogie active, centrée sur le projet réel de mise en place ou de réhabilitation d’un jardin vivrier, avec des travaux pratiques sur site et des outils d’analyse favorisant l’autonomie et l’esprit d’initiative.

Résultat Attendu

À l’issue de la formation « Mettre en place un jardin vivrier », les stagiaires seront en mesure de concevoir, implanter et entretenir un jardin vivrier dans une logique agroécologique, en tenant compte des besoins alimentaires, des ressources disponibles, des conditions pédoclimatiques et des principes de durabilité. Ils seront notamment capables de : Identifier les objectifs du jardin vivrier (autoconsommation, sensibilisation, production de proximité…). Élaborer un plan d’aménagement et un calendrier cultural cohérent. Choisir les espèces végétales adaptées (plantes potagères, condimentaires, petits fruits, etc.). Mettre en œuvre les techniques culturales respectueuses de l’environnement (paillage, rotation, association, gestion de l’eau…). Assurer le suivi, l’entretien, la récolte et la valorisation des productions. Respecter les règles d’hygiène, de sécurité et les bonnes pratiques de jardinage écologique. La formation est fortement ancrée dans la pratique, avec des mises en œuvre concrètes sur les espaces de production du CFPPA et des projets pédagogiques valorisant l’autonomie, l’observation et la polyvalence des stagiaires. En fonction de son projet personnel et professionnel, le stagiaire peut choisir de se présenter ou non au jury régional pour la validation d’un bloc de compétences du BP AP, dans le cadre d’une UCARE (Unité Capitalisable d’Adaptation Régionale à l’Emploi). Cette validation est soumise à l’évaluation des compétences acquises selon le référentiel national. La reconnaissance de cette UCARE constitue une étape vers une certification globale, mais l’obtention du BP AP complet nécessite un parcours complémentaire, incluant les unités capitalisables obligatoires (UC générales et professionnelles) et d’éventuelles autres UCARE, selon le référentiel de spécialité choisi. Ce dispositif permet une progression individualisée vers la qualification, en valorisant les compétences acquises sur le terrain et en facilitant la construction de parcours modulaires adaptés aux réalités de l’emploi et aux projets des stagiaires.

Résumé du contenu

Formation concrète sur un jardin vivrier pédagogique, approche agroécologique, mise en œuvre en conditions réelles, encadrement par des professionnels, acquisition de compétences transférables en animation, production et entretien.

Informations d'admission

L’entretien d’admission évalue la motivation et le projet professionnel. Le candidat devra démontrer son intérêt pour l’agroécologie et la gestion de projets, ainsi que son adéquation avec les objectifs de la formation.
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